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Agence Marocaine Antidopage: Vivement une seconde caravane. 101


Agence Marocaine Antidopage: Vivement une seconde caravane.

Il n’est pas question pour moi ni de définir le dopage, ni de parler des techniques de dopage, ni d’en sérier les conséquences, ni ou encore de m’attarder sur les techniques ou les procédures de lutte contre ce phénomène qui n'entache plus le sport d’élite en particulier mais qui est devenu un phénomène de société tant il est avéré que nombreux sont les jeunes qui ont recours à certains produits afin pensent-ils d'accélérer les effets de l'entrainement sur le musculature et apparence physique. D’autres le font beaucoup mieux que moi. Le dopage est un phénomène qui n’est pas nouveau. Certains disent qu’il a accompagné l’humanité depuis que la compétition sportive existe. Le premier cas avéré dans les temps moderne, remonte à 1865 et depuis le dopage n’a jamais cessé d’exister. Le dopage dans le sport a été toléré des décennies durant, sans doute par méconnaissance de ses conséquences sur la santé, par manque de prise de conscience de son immoralité, et par le fait qu’il a longtemps été à la base de politiques sportives pour certains états puissants dotés de moyens mais avant tous maitrisant certaines techniques, les dessous de la technologie et d’autres aspects scientifiques pointus. De nos jours les choses sont clarifiées, la communauté internationale s’est toute rangée du même côté. Elle condamne le dopage. Elle l’a criminalisé et s’est fixé pour objectif de l’éradiquer. Tous les pays du monde et toutes les instances sportives internationales et nationales sont dans une même logique, celle de ne plus accepter le phénomène du dopage et de lutter contre. Il existe aujourd’hui une instance internationale à laquelle l’ensemble a adhéré et se réfère. Elle fixe le cap et dicte à tous la voie à suivre. Bon nombre de pays dont le Maroc sont allés encore plus loin et ont criminalisé le dopage en inscrivant le recours, l’usage et le commerce de produits dits dopant dans leur droit pénal, avec des sanctions lourdes. Tous les pays du monde se sont dotés d’instances indépendantes dont la seule mission est de lutter contre le dopage. Mieux encore les états et les comités olympiques nationaux sont dans l’obligation de financer, d’épauler et de garantir l’indépendance totale des agences nationales de lutte contre le dopage. Les techniques de dépistage ont tellement évolué que personne ne peut plus échapper à la sanction. La communauté sportive internationale est allée jusqu’à préserver pour très longtemps les échantillons prélevés sur les sportifs, pour revenir à leur analyse des années plus tard, avec des techniques chaque jour plus sophistiquées, chaque jour plus précises. Aujourd’hui des sportifs sont confondus de dopage et sanctionnés sur la base d’échantillons prélevés huit années auparavant. D’autres sont sanctionnés sur la base de variations anormales constatées sur leurs passeports biologiques. C’est dire que la lutte est totale. Seulement s'attaquer au dopage chez les sportifs connus et reconnus et chose aisée. Ils sont identifiés et à portée de main pour les agences. Reste posée la possibilité et l'efficacité du système chez les jeunes et moins jeunes qui eux ne sont ni inscrits dans un club affilié à une fédération ni n'ont pour ambition de participer à une quelconque compétition. Beaucoup ont recours à des produits dopants ou simplement à des suppléments ou compléments alimentaires qui peuvent être contaminés par des molécules dopantes. L’Agence Marocaine AMAD a eu l’idée géniale d’organiser une caravane de sensibilisation à l'adresse du public le plus large et des jeunes. Elle a visité l’ensemble des douze régions du territoire nationale. Pendant plus d’une année, ses équipes, son staff, accompagnés d’experts et de personnalités sportives n’ont eu de cesse d’informer de rappeler et de faire prendre conscience non point des aspects juridiques seulement mais aussi des méfaits et conséquences du recours à certains produits, à certains suppléments ou compléments alimentaires, sur la santé de l'individu et partant à un niveau de santé publique. L’objectif était de faire prendre conscience aux jeunes des conséquences catastrophiques du dopage sur leur santé physique et mentale, sur leur vie en société, sur leur réputation et celle de leur pays pour les sportifs. Je suis certain que tous le comprennent aisément. Mais la compréhension et l’adhésion de chacun dans son petit coin n’est pas suffisante. Nos sportifs et l'ensemble de nos dirigeants sportifs, nos enseignants d'EPS et nos encadrants sportifs doivent tous contribuer dans cette lutte que le Royaume mène inlassablement contre le dopage. Ils doivent être des relais pour contrecarrer ce qui se dit et se fait ici dans leurs clubs, dans leurs écoles et quartiers. S’il n’est pas avéré qu’avec un quelconque produit on devient un grand champion, il est par contre certain que le dopage nuit automatiquement à la santé de l'individu et le fait basculer dans la criminalité. On peut aller jusqu'à devenir la honte de sa famille et entacher la réputation de son pays. Le Comité National Olympique Marocain ne ménage aucun effort pour contribuer à cet élan novateur qui prend naissance aujourd’hui et se développe. Notre mission à nous citoyens est d’être là, présents, à côté des Fédérations Royales Marocaines Sportives, du Ministère des Sports et bien évidement au côté de l’agence nationale de lutte contre le dopage, AMAD. Le Maroc est aujourd’hui un modèle dans cette lutte. Il s’est doté d’un arsenal juridique fort et d’une instance efficace et compétente de lutte contre le dopage et nous nous en félicitons. L'expérience marocaine est scrutée avec intérêt et sa coopération souhaitée dans mout pays africains entre autres. Cette confiance fait que tout récemment la Présidente de l'AMAD, Dr Fatima Abouali a gagné la confiance de ses pairs africains qui l'ont élue présidente de l'UAMS: Union Africaine de Médecine du Sport. Le dopage est notre ennemi à tous et ceux qui le pratiquent, en font commerce ou incitent nos jeunes à y recourir se placent volontairement en marge de la société. Le sport, se sont avant tout des valeurs d’honnêteté.
amad.ma

Agence Marocaine Antidopage: Vivement une seconde caravane.

Il n’est pas question pour moi ni de définir le dopage, ni de parler des techniques de dopage, ni d’en sérier les conséquences, ni ou encore de m’attarder sur les techniques ou les procédures de lutte contre ce phénomène qui n'entache plus le sport d’élite en particulier mais qui est devenu un phénomène de société tant il est avéré que nombreux sont les jeunes qui ont recours à certains produits afin pensent-ils d'accélérer les effets de l'entrainement sur le musculature et apparence physique. D’autres le font beaucoup mieux que moi. Le dopage est un phénomène qui n’est pas nouveau. Certains disent qu’il a accompagné l’humanité depuis que la compétition sportive existe. Le premier cas avéré dans les temps moderne, remonte à 1865 et depuis le dopage n’a jamais cessé d’exister. Le dopage dans le sport a été toléré des décennies durant, sans doute par méconnaissance de ses conséquences sur la santé, par manque de prise de conscience de son immoralité, et par le fait qu’il a longtemps été à la base de politiques sportives pour certains états puissants dotés de moyens mais avant tous maitrisant certaines techniques, les dessous de la technologie et d’autres aspects scientifiques pointus. De nos jours les choses sont clarifiées, la communauté internationale s’est toute rangée du même côté. Elle condamne le dopage. Elle l’a criminalisé et s’est fixé pour objectif de l’éradiquer. Tous les pays du monde et toutes les instances sportives internationales et nationales sont dans une même logique, celle de ne plus accepter le phénomène du dopage et de lutter contre. Il existe aujourd’hui une instance internationale à laquelle l’ensemble a adhéré et se réfère. Elle fixe le cap et dicte à tous la voie à suivre. Bon nombre de pays dont le Maroc ont sont allés encore plus loin et ont criminalisé le dopage en inscrivant le recours, l’usage et le commerce de produits dits dopant dans leur droit pénal, avec des sanctions lourdes. Tous les pays du monde se sont dotés d’instances indépendantes dont la seule mission est de lutter contre le dopage. Mieux encore les états et les comités olympiques nationaux sont dans l’obligation de financer, d’épauler et de garantir l’indépendance totale des agences nationales de lutte contre le dopage. Les techniques de dépistage ont tellement évolué que personne ne peut plus échapper à la sanction. La communauté sportive internationale est allée jusqu’à préserver pour très longtemps les échantillons prélevés sur les sportifs, pour revenir à leur analyse des années plus tard, avec des techniques chaque jour plus sophistiquées, chaque jour plus précises. Aujourd’hui des sportifs sont confondus de dopage et sanctionnés sur la base d’échantillons prélevés huit années auparavant. D’autres sont sanctionnés sur la base de variations anormales constatées sur leurs passeports biologiques. C’est dire que la lutte est totale. Seulement s'attaquer au dopage chez les sportifs connus et reconnus et chose aisée. Ils sont identifiés et à portée de main pour les agences. Reste posée la possibilité et l'efficacité du système chez les jeunes et moins jeunes qui eux ne sont ni inscrits dans un club affilié à une fédération ni n'ont pour ambition de participer à une quelconque compétition. Beaucoup ont recours à des produits dopants ou simplement à des suppléments ou compléments alimentaires qui peuvent être contaminés par des molécules dopantes. L’Agence Marocaine AMAD a eu l’idée géniale d’organiser une caravane de sensibilisation à l'adresse du public le plus large et des jeunes. Elle a visité l’ensemble des douze régions du territoire nationale. Pendant plus d’une année, ses équipes, son staff, accompagnés d’experts et de personnalités sportives n’ont eu de cesse d’informer de rappeler et de faire prendre conscience non point des aspects juridiques seulement mais aussi des méfaits et conséquences du recours à certains produits, à certains suppléments ou compléments alimentaires, sur la santé de l'individu et partant à un niveau de santé publique. L’objectif était de faire prendre conscience aux jeunes des conséquences catastrophiques du dopage sur leur santé physique et mentale, sur leur vie en société, sur leur réputation et celle de leur pays pour les sportifs. Je suis certain que tous le comprennent aisément. Mais la compréhension et l’adhésion de chacun dans son petit coin n’est pas suffisante. Nos sportifs et l'ensemble de nos dirigeants sportifs, nos enseignants d'EPS et nos encadrants sportifs doivent tous contribuer dans cette lutte que le Royaume mène inlassablement contre le dopage. Ils doivent être des relais pour contrecarrer ce qui se dit et se fait ici dans leurs clubs, dans leurs écoles et quartiers. S’il n’est pas avéré qu’avec un quelconque produit on devient un grand champion, il est par contre certain que le dopage nuit automatiquement à la santé de l'individu et le fait basculer dans la criminalité. On peut aller jusqu'à devenir la honte de sa famille et entacher la réputation de son pays. Le Comité National Olympique Marocain ne ménage aucun effort pour contribuer à cet élan novateur qui prend naissance aujourd’hui et se développe. Notre mission à nous citoyens est d’être là, présents, à côté des Fédérations Royales Marocaines Sportives, du Ministère des Sports et bien évidement au côté de l’agence nationale de lutte contre le dopage, AMAD. Le Maroc est aujourd’hui un modèle dans cette lutte. Il s’est doté d’un arsenal juridique fort et d’une instance efficace et compétente de lutte contre le dopage et nous nous en félicitons. L'expérience marocaine est scrutée avec intérêt et sa coopération souhaitée dans mout pays africains entre autres. Cette confiance fait que tout récemment la Présidente de l'AMAD, Dr Fatima Abouali a gagné la confiance de ses pairs africains qui l'ont élue présidente de l'UAMS: Union Africaine de Médecine du Sport. Le dopage est notre ennemi à tous et ceux qui le pratiquent, en font commerce ou incitent nos jeunes à y recourir se placent volontairement en marge de la société. Le sport, se sont avant tout des valeurs d’honnêteté.
amad.ma

Agence Marocaine Antidopage: Vivement une seconde caravane.

Il n’est pas question pour moi ni de définir le dopage, ni de parler des techniques de dopage, ni d’en sérier les conséquences, ni ou encore de m’attarder sur les techniques ou les procédures de lutte contre se phénomène qui n'entache plus le sport d’élite en particulier mais qui est devenu un phénomène de société tant il est avéré que nombreux sont les jeunes qui ont recours à certains produits afin pensent ils d'accélérer les effets de l'entrainement sur le musculature et apparence physique. D’autres le font beaucoup mieux que moi. Le dopage est un phénomène qui n’est pas nouveau. Certains disent qu’il a accompagné l’humanité depuis que la compétition sportive existe. Le premier cas avéré dans les temps moderne, remonte à 1865 et depuis le dopage n’a jamais cessé d’exister. Le dopage dans le sport a été toléré des décennies durant, sans doute par méconnaissance de ses conséquences sur la santé, par manque de prise de conscience de son immoralité, et par le fait qu’il a longtemps été à la base de politiques sportives pour certains états puissants dotés de moyens mais avant tous maitrisant certaines techniques, les dessous de la technologie et d’autres aspects scientifiques pointus. De nos jours les choses sont clarifiées, la communauté internationale s’est toute rangée du même côté. Elle condamne le dopage. Elle l’a criminalisé et s’est fixé pour objectif de l’éradiquer. Tous les pays du monde et toutes les instances sportives internationales et nationales sont dans une même logique, celle de ne plus accepter le phénomène du dopage et de lutter contre. Il existe aujourd’hui une instance internationale à laquelle l’ensemble a adhéré et se réfère. Elle fixe le cap et dicte à tous la voie à suivre. Bon nombre de pays dont le Maroc ont sont allés encore plus loin et ont criminalisé le dopage en inscrivant le recours, l’usage et le commerce de produits dits dopant dans leur droit pénal, avec des sanctions lourdes. Tous les pays du monde se sont dotés d’instances indépendantes dont la seule mission est de lutter contre le dopage. Mieux encore les états et les comités olympiques nationaux sont dans l’obligation de financer, d’épauler et de garantir l’indépendance totale des agences nationales de lutte contre le dopage. Les techniques de dépistage ont tellement évolué que personne ne peut plus échapper à la sanction. La communauté sportive internationale est allée jusqu’à préserver pour très longtemps les échantillons prélevés sur les sportifs, pour revenir à leur analyse des années plus tard, avec des techniques chaque jour plus sophistiquées, chaque jour plus précises. Aujourd’hui des sportifs sont confondus de dopage et sanctionnés sur la base d’échantillons prélevés huit années auparavant. D’autres sont sanctionnés sur la base de variations anormales constatées sur leur passeport biologiques. C’est dire que la lutte est totale. Seulement s'attaquer au dopage chez les sportifs connus et reconnus et chose aisée. Ils sont identifiés et à portée de main pour les agences. Reste posée la possibilité et l'efficacité du système chez les jeunes et moins jeunes qui eux ne sont ni inscrits dans un club affiliés à une fédération ni n'ont pour ambition de participer à une quelconque compétition. Beaucoup ont recours à des produits dopants ou simplement à des suppléments ou compléments alimentaires qui peuvent être contaminés par des molécules dopantes. L’Agence Marocaine AMAD a eu l’idée géniale d’organiser une caravane de sensibilisation à l'adresse du public le plus large et des jeunes. Elle a visité l’ensemble des douze régions du territoire nationale. Pendant plus d’une année, ses équipes, son staff, accompagnés d’experts et de personnalités sportives n’ont eu de cesse d’informer de rappeler et de faire prendre conscience non point des aspects juridiques seulement mais aussi des méfaits et conséquences du recours à certains produits, à certains suppléments ou compléments alimentaires, sur la santé de l'individu et partant à un niveau de santé publique. L’objectif était de faire prendre conscience aux jeunes des conséquences catastrophiques du dopage sur leur santé physique et mentale, sur leur vie en société, sur leur réputation et celle de leur pays pour les sportifs. Je suis certain que tous le comprennent aisément. Mais la compréhension et l’adhésion de chacun dans son petit coin n’est pas suffisante. Nos sportifs et l'ensemble de nos dirigeants sportifs, nos enseignants d'EPS et nos encadrants sportifs doivent tous contribuer dans cette lutte que le Royaume mène inlassablement contre le dopage. Ils doivent être des relais pour contrecarrer ce qui se dit et se fait ici dans leurs clubs, dans leurs écoles et quartiers. S’il n’est pas avéré qu’avec un quelconque produit on devient un grand champion, il est par contre certain que le dopage nuit automatiquement à la santé de l'individu et le fait basculer dans la criminalité. On peut aller jusqu'à devenir la honte de sa famille et entacher la réputation de son pays. Le Comité National Olympique Marocain ne ménage aucun effort pour contribuer à cet élan novateur qui prend naissance aujourd’hui et se développe. Notre mission à nous citoyens est d’être là, présents, à côté des Fédérations Royales Marocaines Sportives, du Ministère des Sports et bien évidement au côté de l’agence nationale de lutte contre le dopage, AMAD. Le Maroc est aujourd’hui un modèle dans cette lutte. Il s’est doté d’un arsenal juridique fort et d’une instance efficace et compétente de lutte contre le dopage et nous nous en félicitons. L'expérience marocaine est scrutée avec intérêt et sa coopération souhaitée dans mout pays africains entre autre. Cette confiance fait que tout récemment la Présidente de l'AMAD, Dr Fatima Abouali a gagné la confiance de ses pairs africains qui l'ont élue présidente de l'UAMS: Union Africaine de Médecine du Sport. Le dopage est notre ennemi à tous et ceux qui le pratiquent, en font commerce ou incitent nos jeunes à y recourir se placent volontairement en marge de la société. Le sport, se sont avant tout des valeurs d’honnêteté. Se doper c’est se condamner à être malhonnête. Nous n’accepterons jamais à ce que l’un des nôtres le soit. Vivement une seconde caravane.
amad.ma